“La 5G tue. Non pas à cause des effets des ondes sur la santé humaine. Mais en tant que création artificielle d’un besoin arbitraire aux conséquences dévastatrices. On ne PEUT PLUS continuer à faire “comme si” ces folies n’avaient pas de conséquences. (…) Préfère-t-on la vie ou le débit du réseau téléphonique ? C’est (presque) aussi simple que cela.”
– Aurélien Barrau, physicien
Conférence organisée avec la chaire Good In Tech.
Aujourd’hui, le numérique tel qu’il est semble clairement contribuer à la crise écologique : il consomme des ressources et de l’énergie, il produit des déchets difficiles à recycler, il fonctionne souvent à l’addiction et à l’obsolescence programmée. Peut-il en aller autrement ? Et si c’est le cas, les grands projets technologiques (5G, smart cities, réseaux électriques ou de transport “intelligents”…) doivent-ils être remis en question ? Peut-on penser un numérique durable ?
Animation : Daniel Kaplan, Réseau Université de la Pluralité
Intervenant.es
- Introduction : Christine Balagué, titulaire de la Chaire Good in Tech
- Yasmine Abbas, architecte, enseignante-chercheuse au PennState College of Arts and Architecture
- Romaric David, ingénieur de recherche à l’Université de Strasbourg, GDS Ecoinfo-CNRS
- Alexandre Monnin, philosophe, cofondateur d’Origens Medialab