Quelle que soit la manière dont on définit l’intelligence, tout indique que les humains n’en ont pas le monopole : on rencontre chez de nombreux animaux une capacité de raisonnement et d’apprentissage, une conscience d’eux-mêmes et de l’autre, le recours à des outils. Ensemble, certains animaux produisent des rapports sociaux, voire géopolitiques, une culture transmise et capable d’évoluer, voire un langage.
Non seulement les humains n’ont plus grand-chose d’exceptionnel, mais ils deviennent conscients de leur interdépendance avec toutes sortes d’animaux, des abeilles aux grands prédateurs.
Mais que faire ce cette prise de conscience ? Que change-t-elle ? Quelles pistes ouvre-t-elle ? Quel avenir dans un monde d’êtres tous intelligents et interdépendants ? Et comment en discuter entre espèces, en l’absence d’un langage commun ?
Intervenant·es
- Yolaine de la Bigne, journaliste, créatrice de la Journée mondiale des intelligences animales
- Deux entrepreneurs : Thibaut Dancette (Osmia) et Fabien Sauleman (Poulehouse)
- Rocio Berenguer, dramaturge et fondatrice du G5 inter-espèces (en dialogue avec Daniel Kaplan)
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